L’EGC Centrest obtient le visa du Ministère de l’Enseignement Supérieur pour 5 ans

Publié le : jeu 24/09/2020 - 10:46

Dans le cadre de leur fusion en février 2020, les campus EGC de Bourg-en-Bresse et de Chalon-sur-Saône ont obtenu officiellement le visa durant l’été. La publication est parue le 23 juillet 2020 au Bulletin Officiel du Ministère de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation. Une reconnaissance au plus haut niveau de la qualité du process pédagogique et de la valeur des enseignements notamment pour une poursuite d’études en Master, mais aussi de l’accompagnement des jeunes dans leur insertion professionnelle.

La création de ce nouvel établissement unique – l’EGC Centrest – a pour vocation de réunir les deux campus (Bourg et Chalon) autour d’une nouvelle organisation et avec une nouvelle ambition. L’harmonisation des pratiques, la mutualisation et le développement des synergies entre les deux sites – regroupant 150 étudiants – sont de véritables opportunités pour les deux campus, les jeunes et les entreprises des deux territoires.

Avec l’obtention du visa, l’EGC Centrest entre dès cette rentrée 2020, dans le cercle très fermé des 132 formations visées par le Ministère de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation. Parmi ces 132 formations, 47 sont des diplômes de niveau Bac+3, ce qui place l’EGC Centrest comme étant la seule formation Bac+3 visée sur le département de l’Ain avec le campus de Bourg, et sur le département de la Saône-et-Loire avec le campus de Chalon.

Ainsi, l’EGC Centrest pourra renforcer son positionnement dans l’environnement compétitif de la formation et de l’enseignement, et mieux contribuer à l’employabilité des jeunes et aux besoins de recrutement des entreprises. L’objectif est d’élargir le recrutement des étudiants sur l’axe Bourg – Mâcon – Chalon ainsi que sur les départements limitrophes (Doubs, Jura, Haute-Saône, Haute-Savoie et Rhône). L’école ambitionne de développer des pédagogies innovantes, des partenariats locaux et internationaux, et intégrer des entreprises dans son modèle de gouvernance.